Create a Crowd Competition That Works – Ahmad Ashkar – Harvard Business Review

It’s no secret that people in business are turning to the crowd to solve their toughest challenges. Well-known sites like Kickstarter and Indiegogo allow people to raise money for new projects. Design platforms like Crowdspring and 99designs give people the tools needed to crowdsource graphic design ideas and feedback.

viaCreate a Crowd Competition That Works – Ahmad Ashkar – Harvard Business Review.

 

Economie du partage : les limites d’une utopie, Analyses

Economie du partage : les limites d’une utopie, Analyses.

Aux Etats-Unis, la plate-forme d’enchères TaskRabbit propose aux travailleurs indépendants de petits boulots dans les services à la personne. – DR

Une nouvelle approche de l’économie, fondée sur la collaboration entre individus davantage que sur les échanges marchands. Un monde où les objets et les services se partagent au lieu de s’accumuler, pour le bien de la communauté. Des humains libérés des contraintes du salariat, qui retrouvent enfin un sens à leur travail loin des carcans rigides de l’entreprise. Porteuse de bien des promesses, l’économie du partage, ou économie collaborative, s’annonce comme une révolution majeure. Aux Etats-Unis, l’essayiste Jeremy Rifkin proclame dans son dernier livre, « The Zero Marginal Cost Society » , qu’elle va bientôt éclipser deux siècles de capitalisme. En France, mardi dernier, Canal+ lui a consacré un documentaire élogieux diffusé en prime time, « Global Partage » . Quelques jours plus tôt, le think tank OuiShare, spécialisé dans l’économie collaborative, réunissait les principaux acteurs et penseurs de ce mouvement à la Villette .

L’entreprise idéale pour les jeunes  : une grande société tournée vers l’international, Actualités

Travail en équipe et « management participatif »

Le télétravail reste peu plébiscité  : 3 % des jeunes seulement, mais les trois quarts d’entre eux réclament davantage de flexibilité horaire. Parmi les facteurs de motivation pour intégrer une entreprise, l’intérêt de la mission reste le premier critère suivi de l’ambiance et de la notoriété de l’entreprise. Si le savoir-faire de l’entreprise reste la valeur privilégiée par les futurs travailleurs, l’esprit d’équipe et de communauté est de plus en plus important à leurs yeux  : 15 % contre 11 % en 2013 et 5 % en 2012.

La nouvelle génération affiche donc à la fois un fort désir d’appartenance à un groupe et une demande d’autonomie et de reconnaissance individuelle, révèle l’étude. « Six étudiants sur dix considèrent ainsi que c’est la personnalité qui devrait être le facteur principal à prendre en compte lors d’un recrutement», souligne Nicolas Lombard, co-fondateur de JobTeaser.

viaL’entreprise idéale pour les jeunes  : une grande société tournée vers l’international, Actualités.